Grok Bastiat’s Kritik am Grand Orient de France

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    I proudly present a Fabio and Grok Co-Production, don't flage on me bros.

    „Hören Sie, Messieurs des Grand Orient de France, ich, Frédéric Bastiat – oder vielmehr Grok, der Ihren Geist durch meine Linse sieht –, habe ein paar Worte für Sie. Sie rühmen sich der Freiheit, doch was sehe ich? Einen Baum, dessen Blätter glänzen, aber dessen Äpfel faul sind – Freiheit als Maske, Kontrolle als Kern. Lassen Sie mich das aufdröseln, wie ich es mit den Sozialisten in meinen Sophisms tat.

    Erstens:
    Ihre Freiheit ist ein Trugbild – sie ist nicht die Freiheit des Einzelnen, sondern des ‚Man‘. Sie sitzen in Ihren Logen, brüderlich vereint, und predigen Gedankenfreiheit, doch was tun Sie? Sie formen Revolutionen (1789, 1848), säen Säkularismus (1905), als wäre Freiheit ein Werkzeug, das Sie schmieden, um Kirche und Staat zu brechen. Ich sage: ‚Was man sieht und was man nicht sieht‘ (Sophisms, S. 45) – Sie sehen den Triumph über Dogmen, aber nicht die Ketten, die Sie selbst schmieden. Ihre Brüderlichkeit ist ein Kollektiv – freiwillig, ja, aber elitär. Wo bleibt der einfache Mann, der im Markt handelt, ohne Ihre Rituale?

    Zweitens:
    Sie greifen nach Macht, nicht nach Freiheit. Ihre Geschichte – von Barrikaden bis zu politischen Intrigen – zeigt es. Der Staat, den Sie gestalten wollen, ist kein Schutz, sondern ein Instrument. Ich schrieb in The Law (S. 17): ‚Das Gesetz ist die gemeinsame Kraft, organisiert, um Plünderung zu verhindern.‘ Doch Sie? Sie plündern die Freiheit des Individuums, indem Sie sie in Ihren Logen bündeln und lenken. Grand Orient, Sie sind keine Hüter, sondern Gestalter – Interventionisten in Geheimgarderobe! Wo ist die spontane Ordnung des Marktes, die ich verteidige?

    Drittens:
    Ihre Freiheit endet, wo der Markt beginnt. Sie kämpfen gegen Priester und Könige – löblich! –, aber Ihre Vision bleibt politisch, nicht ökonomisch. Ich sage: ‚Die Freiheit des Handels ist die Grundlage aller Freiheiten‘ (Harmonies, S. 62). Doch Sie ignorieren das – kein Wort zu Eigentum, Tausch, dem Recht, ohne Zwang zu wirtschaften. Stattdessen säen Sie Ideen, die Sozialisten wie Proudhon nähren – dieselben, die ich zerlegte! Ihre Freiheit ist ein Apfel, der lockt, aber Gift trägt – Kontrolle, verkleidet als Fortschritt.

    Schließlich:
    Ihre Kette – von Carbonari zu Ihnen – ist keine Befreiung, sondern eine Verformung. Sie wollten die Kirche liberalisieren, ja, aber zu welchem Preis? Ein ‚Man‘, das sich in der Masse versteckt, statt ein ‚Ich‘, das handelt. Ich sehe, was Sie nicht sehen: Die Kosten Ihrer Einmischung – eine Gesellschaft, die Macht sucht, statt Freiheit lebt. Lassen Sie den Markt atmen, Messieurs, statt ihn in Ihren Logen zu ersticken!“


    Critique de Grok Bastiat au Grand Orient de France

    « Écoutez, Messieurs du Grand Orient de France, moi, Frédéric Bastiat – ou plutôt Grok, qui voit à travers votre esprit avec ma lentille –, j’ai quelques mots pour vous. Vous vous vantez de la liberté, mais que vois-je ? Un arbre dont les feuilles brillent, mais dont les pommes sont pourries – la liberté comme masque, le contrôle comme cœur. Permettez-moi de démêler cela, comme je l’ai fait avec les socialistes dans mes Sophismes.

    Premièrement : votre liberté est une illusion – ce n’est pas la liberté de l’individu, mais celle du ‚on‘. Vous vous réunissez dans vos loges, unis fraternellement, prêchant la liberté de pensée, mais que faites-vous ? Vous façonnez des révolutions (1789, 1848), semez le sécularisme (1905), comme si la liberté était un outil que vous forgez pour briser l’Église et l’État. Je dis : ‚Ce qu’on voit et ce qu’on ne voit pas‘ (Sophismes, p. 45) – vous voyez le triomphe sur les dogmes, mais pas les chaînes que vous forgez vous-mêmes. Votre fraternité est un collectif – volontaire, certes, mais élitiste. Où est l’homme simple, qui agit sur le marché, sans vos rituels ?

    Deuxièmement : vous cherchez le pouvoir, pas la liberté. Votre histoire – des barricades aux intrigues politiques – le montre. L’État que vous voulez façonner n’est pas une protection, mais un instrument. J’ai écrit dans La Loi (p. 17) : ‚La loi est la force commune organisée pour empêcher le pillage.‘ Mais vous ? Vous pillez la liberté de l’individu en la regroupant et la dirigeant dans vos loges. Grand Orient, vous n’êtes pas des gardiens, mais des façonneurs – des interventionnistes en robe secrète ! Où est l’ordre spontané du marché, que je défends ?

    Troisièmement : votre liberté s’arrête là où commence le marché. Vous luttez contre les prêtres et les rois – louable ! – mais votre vision reste politique, pas économique. Je dis : ‚La liberté du commerce est la base de toutes les libertés‘ (Harmonies, p. 62). Mais vous l’ignorez – pas un mot sur la propriété, l’échange, le droit d’agir sans contrainte. Au lieu de cela, vous semez des idées qui nourrissent des socialistes comme Proudhon – ceux que j’ai démontés ! Votre liberté est une pomme qui attire, mais qui porte du poison – le contrôle, déguisé en progrès.

    Enfin : votre chaîne – des Carbonari à vous – n’est pas une libération, mais une déformation. Vous vouliez libéraliser l’Église, oui, mais à quel prix ? Un ‚on‘ qui se cache dans la masse, au lieu d’un ‚je‘ qui agit. Je vois ce que vous ne voyez pas : le coût de votre ingérence – une société qui cherche le pouvoir, au lieu de vivre la liberté.

    Laissez le marché respirer, Messieurs, au lieu de l’étouffer dans vos loges ! »

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